Richard Darmon analyse les raisons pour lesquelles, parmi les nombreux dossiers qui seront examinés le 29 décembre lors de la cinquième rencontre entre le président américain et Benyamin Netanyahou, figure en bonne place celui de la « Force internationale de stabilisation » (F.I.S.), prévue par le plan Trump pour rétablir le calme à Gaza. Un projet sensible, d’autant que Washington souhaite y associer des troupes turques et qataries, en dépit de l’opposition claire et répétée de Jérusalem.