Le Journal de la Matinée du 31 décembre 2025
Le Hamas a deux mois pour se désarmer
C’est le grand titre du journal de Daniel Haïk ce 31 décembre 2025.

L’invité de la rédaction – Iran : la rue veut bazarder les Mollah
Mona Jafarian, cofondatrice du mouvement des femmes Azadis, décrit un soulèvement inédit en Iran. Des bazars de Téhéran aux universités, une contestation massive appelle clairement à la chute du régime. Répression, rôle de Reza Pahlavi, solitude du peuple iranien et responsabilité de la communauté internationale : une parole forte, sans détour, sur un moment décisif pour l’avenir de l’Iran.

L’invité de la rédaction – Trump–Netanyahou : le show qui cache le froid ?
Sébastien Lévy décrypte les rencontres entre Donald Trump et Benjamin Netanyahou. Démonstration de proximité politique et stratégique, notamment face à l’Iran, mais aussi zones de friction sur Gaza, la Judée-Samarie et surtout la Turquie. Entre soutien américain, calculs diplomatiques et logique transactionnelle de Trump, une analyse nuancée d’une relation solide, mais loin d’être sans contreparties.

La Revue de la Presse
Yediot Aharonot désigne les réservistes comme « Personnalité de l’année 2025 ».
Commentaires après la rencontre Trump–Netanyahou.
La reconnaissance du Somaliland donne des ailes au petit pays.
Retrouvez la revue de presse de Daniel Haïk.

L’invité de la rédaction – Judée-Samarie : 50 ans de retour aux racines
Shalom Wah, pionnier de la région, retrace les origines de l’implantation juive en Judée-Samarie, de Kiryat Arba/Hevron aux grandes villes d’aujourd’hui. Un récit incarné, biblique et historique, qui défend l’idée d’un enracinement irréversible : celui d’un peuple revenu sur son berceau, porté par la foi, la mémoire et une dynamique démographique devenue, selon lui, incontestable.

La chronique
Noël en France : le recul des traditions occidentales – Lise Ben Galil
Cette année, Noël s’est fait discret en France. Entre évitement et souci d’inclusivité, la société française voit Noël perdre de sa superbe. À travers son propre attrait pour une fête qu’elle ne célèbre pourtant pas, Lise Ben Galil souligne l’absurdité du phénomène et pose la question qui dérange : pourquoi les traditions reculent-elles en France ?