Myriam Haddad, directrice des ganim de l’école Gan Ami Marseille, et Wesley Benhamou, professeur de kodesh dans la même institution, veulent défendre l’école qu’ils voient comme un creuset dans lequel vont s’affermir les enfants de demain. Itaï Zanzouri, et c’est le choix assumé d’un ancien enseignant, n’envoie pas sa progéniture sur les bancs des classes. Pour lui, un enfant doit s’épanouir dans un cadre sans stress, fait de découvertes, de jeu, et d’un apprentissage naturel qui découle de sa curiosité et de sa soif d’apprendre.