Haim Berkovitz défend fermement l’instauration de la peine de mort pour les terroristes, qu’il juge à la fois juste et dissuasive, tout en critiquant la provocation symbolique d’Itamar Ben Gvir. Il se prononce également pour l’enrôlement des élèves des yeshivot, estimant qu’après le 7 octobre, la participation de tous à l’effort militaire est une nécessité vitale pour la sécurité d’Israël.