Nissim Slama se réjouit de la nomination de Roman Goffman au Mossad. Pour lui, Goffman combine compétence militaire, audace stratégique et est un symbole fort pour l’intégration des nouveaux immigrants.
Slama juge la loi sur l’enrôlement des ultra-orthodoxes inefficace, inadaptée et politiquement motivée, et pense qu’il vaudrait mieux ne pas voter qu’adopter une “mauvaise loi”.
Selon lui, le vrai blocage structurel en Israël vient du lien entre le pouvoir des partis ultra-orthodoxes et le système judiciaire — sans résoudre l’un, on ne pourra pas résoudre l’autre.