Rien ne prédestinait Yona à tout quitter. Étudiante en droit à Créteil, elle décide du jour au lendemain de faire son Alya, poussée par un déclic intérieur et le besoin de se sentir enfin libre d’être elle-même. Face à la guerre, loin de sa famille, elle découvre pourtant la sécurité, la solidarité et la lumière d’Israël. Son témoignage résonne comme une déclaration d’amour à son nouveau pays : « Je suis rentrée à la maison, sans même le savoir. »